Repreneur d’entreprise : le mentorat, vous-y avez pensé ?

Repreneur d’entreprise : le mentorat, vous-y avez pensé ?

Peu plébiscitée par les candidats à l’entrepreneuriat, la reprise d’entreprise est pourtant à considérer comme une option à part entière.

Dans les deux cas, création ou reprise, le futur chef d’entreprise devra faire mûrir son projet en l’ayant envisagé, questionné sous un maximum d’angles possibles.

Et ce n’est que lorsque ce cheminement est assez engagé que les démarches concrètes peuvent alors commencer.

Mais avant de foncer tête baissée, pourquoi ne pas exposer vos idées à un mentor ?

Les avantages du repreneur d’entreprise

Dans la même veine que la création, la reprise d’entreprise implique :

  • un engagement et une passion pour le projet de la part du repreneur,
  • le respect des étapes juridiques et légales (plus exigeantes que lors d’une création d’entreprise, car la structure à reprendre possède des clients, des fournisseurs et souvent des salariés),
  • de trouver les bons financements.

Le futur repreneur d’entreprise a l’avantage de ne pas avoir à passer par la phase de création pour s’atteler directement au développement et à la stratégie de la structure.

Se faire accompagner par un mentor dès les premières heures du projet de reprise d’entreprise

Avant-même d’avoir trouvé l’entreprise à reprendre, à partir du moment où un entrepreneur est déterminé à devenir repreneur d’entreprise, un mentor peut lui apporter son aide et lui faire gagner du temps.

Il pose les bonnes questions :

  • entreprendre seul ou à deux ?
  • reprendre une petite entreprise ou une moyenne ?
  • le marché concerné par la reprise est-il bien cerné ?
  • quel sera son rôle au sein de l’entreprise, quelles seront les tâches déléguées ?
  • les choix qu’il s’apprête à faire sont-ils cohérents avec les attentes de son entourage ?
  • son projet s’intègre-t-il dans un projet de vie ?

Ces interrogations sont fondamentales.

Elles valident la cohérence du projet et la solidité de l’engagement du repreneur. Il faut être conscient de ses atouts et de ses faiblesses.

Un mentor pour les phases de négociation

L’entreprise à reprendre a été ciblée.

Un mentor ne se substitue pas aux conseillers spécialisés – experts-comptables, avocats d’affaires . Le mentor prend en compte l’autre volet, l’accompagnement de la personne “entrepreneur-repreneur d’entreprise”.

Le mentor peut apporter de précieux conseils dans la relation à adopter avec le cédant.

Au-delà des aspects matériels et financiers, le repreneur rencontre une part d’affect qu’il ne faut pas négliger.

Le chef d’entreprise cède souvent “le projet de sa vie” au repreneur.

Le mentor s’est déjà retrouvé dans l’une ou l’autre de ces situations, il sait quelle est l’attitude à adopter vis-à-vis du cédant.

Un mentor pour ajuster son rôle de repreneur d’entreprise

C’est signé.

Le repreneur est alors confronté à la mise en place de son projet de reprise et peut ressentir un sentiment de solitude face aux équipes.

Ce n’est pas le cas avec un mentor !

Les interrogations auront été abordées en amont, mais elles doivent être revues avec ce dernier :

  • Comment gagner en légitimité avec les équipes en place ?
  • À quel moment mes choix stratégiques doivent prendre le pas sur les précédents ?
  • etc

Ces échanges permettent au repreneur de gagner en sérénité.

Qui est ce mentor ?

Pour Cap Réussite, c’est un chef d’entreprise qui est habité par une volonté de transmettre et qui est passé par la reprise.

Il est là pour éclairer, montrer la prochaine étape à franchir. Il apporte son savoir-être et son savoir-faire, sa démarche est bénévole et bienveillante. Le mentor tire une satisfaction d’avoir révélé le potentiel de la personne accompagnée.

Nous savons que la présence d’un mentor est déterminante dans le succès du projet du repreneur d’entreprise.

Un atout qui fait la différence à chaque étape de reprise d’une entreprise : avant, pendant et après la signature.

Si vous voulez en savoir plus sur l’accompagnement gratuit que propose Cap Réussite, prenez contact avec nous.