Témoignages de mentorés
Sébastien Guston : « Je veux apprendre à maîtriser la croissance de mon entreprise »
L’aventure de SO CLEAN a débuté en mai 2015. Pour les professionnels, Sébastien propose un service de nettoyage industriel à dimension humaine.
“Dans mon secteur d’activité, les techniques de management sont souvent difficiles et n’ont pas le souci du bien-être des salariés. Je m’oppose à ces pratiques et c’est pour cela que toute l’organisation de SO CLEAN est tournée vers l’épanouissement des personnes qui y travaillent”.
La croissance de l’entreprise, qui compte déjà une quinzaine de salariés, est rapide. “J’ai choisi de participer au concours de Cap Réussite parce que SO CLEAN grandit vite et je vais bientôt avoir besoin d’un coup de pouce pour apprendre à mieux gérer ma trésorerie. Je souhaite aussi obtenir des conseils pour adopter une bonne stratégie de développement. Je crois bien que je vais avoir besoin de l’expérience d’un mentor !”.
Fabienne Bunel : « Je ne veux pas m’isoler ! L’idée du mentorat me plaît »
En juin 2016, un joli site a fait son apparition sur la toile : Marie-Paris.fr.
L’internaute y conçoit la chaussure de ses rêves qui sera ensuite confectionnée dans des ateliers choletais. “Je mûrissais le projet de Marie-Paris depuis longtemps déjà. Je trouvais les modèles de chaussures proposées dans les boutiques du centre-ville un peu monotones.
Avec le site internet, vous choisissez votre couleur, les boucles que vous voulez, vos lacets… bref, les possibilités sont plus réjouissantes” explique Fabienne Bunel, à l’origine du projet.
Mise à jour sur le projet à retrouver ici
“J’ai choisi de participer au concours de Cap Réussite car je ne veux pas m’isoler dans mon projet. J’ai beaucoup de questions à poser à mon mentor” poursuit Fabienne, anciennement responsable marketing dans une centrale d’achat sur Nantes. “Le marketing, je connais ! En revanche, je dois apprendre à faire fonctionner mon entreprise, maîtriser sa gestion quotidienne ainsi que son financement. Les conseils d’un mentor, quelqu’un qui a un peu de bouteille, me permettront sûrement de bien anticiper le futur de Marie-Paris”.
Anaïs Pichon : “J’ai besoin que l’on me dise dans quel ordre il faut construire son projet”
Le “P’tit Poids”, future épicerie sans emballage, prend racine dans les valeurs d’Anaïs Pichon : “je me demandais comment je pouvais limiter mon empreinte environnementale au quotidien”.
Soucieuse de réduire sa production de déchet, Anaïs n’était pas satisfaite de sa manière de consommer : “Pour dénicher des produits sans emballage, il faut se rendre dans le centre-ville de Nantes.
Or, j’habite à Couëron. L’idée du P’tit Poids est d’offrir un mode de consommation respectueux de l’environnement aux gens qui ne sont pas de Nantes ou qui habitent à la campagne.
Je cherche à travailler avec des produits qui viennent le plus possible du local et qui sont issus de l’agriculture biologique ou raisonnée”.
Anaïs admet tenir la fibre commerciale de sa mère.
Pour autant, elle a conscience du rude parcours qui l’attend pour créer son entreprise : “Je veux savoir comment m’organiser. A quel moment dois-je aller voir les banquiers ? A quel moment faut-il s’installer dans un local ? Je suis sûre que je vais pouvoir profiter des conseils d’un chef d’entreprise qui s’est lui-même posé ces questions”.
Chrystèle Robin : “Des personnes qui ont envie de donner un peu de temps pour aider les entrepreneurs qui se lancent ? Le principe du mentorat est génial !”
L’idée de “Plaine de Jeux”, le projet de Chrystèle est née d’une expérience bénévole : “Au sein de ma commune, Savenay, je suis membre d’une association adressée à la jeunesse. Je constate donc au quotidien que les aires de jeux ne sont pas adaptées aux personnes en situation de handicap”.
C’est à partir de cette prise de conscience que Chrystèle a commencé a développé “Plaine de Jeux”, une structure qui permettra à tous les enfants, leurs parents et leurs grands parents, en situation de handicap ou non, de venir jouer ensemble.
Chrystèle, qui s’enthousiasme pour le mentorat, va demander des conseils pour pouvoir maîtriser au mieux le financement de sa structure : “quelles sont les subventions auxquelles je peux prétendre ? Comment présenter mon dossier ? Comment s’y prendre pour lancer une campagne de financement participatif ? J’ai beaucoup à apprendre d’un chef d’entreprise expérimenté”.
Anthony Athimon : « Le mentor pourra me mettre en confiance et confirmer que mon idée est bonne »
“Les artisans sont souvent débordés”, constate Anthony Athimon qui travaille dans le secteur du bâtiment.
“Très souvent, ils sont contraints d’interrompre leur chantier pour aller se procurer tel ou tel outil ou matériau qui leur fait défaut. Or, un aller-retour : ça prend du temps !”
Fort de ce constat, Anthony développe avec son ami d’enfance informaticien Clément Sugier, l’entreprise VIP (Volumes intérieurs personnalisés). “Par le biais de l’application de VIP, les artisans ou les indépendants sont mis en relation pour effectuer les livraisons : le gain de temps est énorme !”
Lauréats du concours Cap réussite, Anthony et Clément seront bientôt mis en contact avec leur mentor.
“Nous allons certainement avoir besoin d’un coup de main pour développer notre réseau professionnel. Je crois aussi que le mentor nous aidera à gagner en confiance. Nous avons une idée qui est bonne et pertinente : il nous faut trouver les armes pour la défendre et la faire éclore”.
En lisant ces témoignages, vous aussi, vous avez envie de créer votre entreprise ! Ne partez pas tout seul, les bons conseils d’un mentors peuvent s’avérer nécéssaire. Consultez cette page pour en découvrir plus sur le concours Cap Réussite.